Maisons de vacances, vos alternatives : louer ou acheter

Publié le : 31 décembre 20205 mins de lecture

Une maison de vacances est un alternative intéressant. Ces maisons de vacances intéressera ceux qui souhaitent se procurer une maison de vacances pour eux-mêmes et leur famille. Mais malheureusement pour eux, ils n’ont pas la possibilité d’acheter une maison. Sinon, cette offre intéresse aussi ceux qui n’ont pas le désir d’acheter une résidence pour les vacances. Profitez des vacances en optant pour l’une des alternatives suivantes.

Quelles types de maisons peuvent être réserver ?

Avant de voir les alternatives que vous offrent une maison de vacances, sachez quels types de résidence de location existent.

Pour vos maisons de vacances, il existe différents types d’hébergements que vous pouvez réserver :

Une simple maison, comme une résidence secondaire, avec plusieurs chambres.

Des villas avec jardin, piscine, parking, accès à la plage, en bord de mer.

Un simple appartement

Dans chaque région, ville ou village de France, comme la Bretagne, vous pouvez trouver des infos de réservation. Vous réservez vos maisons de vacances en appelant après avoir demander le prix de l’hébergement. Ce prix varie selon la durée de votre séjour : nuit, mois, année.

Première solution : la location d’une maison de vacances

La première solution est de louer un hébergement, pour ainsi dire traditionnel. Dans ce cas, les parties concernées seront plus ou moins libres de négocier, en fonction de l’objectif spécifique poursuivi. Plus précisément, les clients seront totalement libres de négocier avec le propriétaire ou le locataire de la résidence. Ainsi, ils déterminent la durée du bail et le montant du loyer de la location. Ils déterminent aussi si c’est uniquement un contrat qui vise à obtenir une résidence pour la période de vacances. Par conséquent, ils précisent si c’est un offre spécifique et limité.

Dans le cas contraire, les parties ne seront pas totalement libres. Mais, les clients et les propriétaires seront liées par les règles juridiques relatives aux baux d’habitation. Précisément en ce qui concerne la durée du contrat de location de la résidence.

Comme par exemple, un contrat de location qui ne dure qu’un an. Par conséquent, ce contrat de location vise la jouissance d’un hébergement pendant une certaine période de l’année. Généralement, la réservation des maisons de vacances se font au mois d’août, pour les vacances d’été. Mais, ces maisons de vacances peuvent aussi être réservées pendant d’autres périodes, généralement les week-ends.

En bref, ce cas de location est pour celui des maisons destinées à être utilisée comme résidence secondaire. Un contrat de location où il vise à répondre non pas aux besoins touristiques transitoires. Plutôt un accord de location qui répond aux besoins dits de « logement complémentaire ».

Deuxième solution : le temps partagé

L’autre alternative pour louer une maison de vacances, beaucoup plus moderne, est la multipropriété immobilière. Acheter un « temps partagé » signifie acheter le droit d’utiliser une certaine résidence. Les clients utilisent seulement la résidence pour une certaine période de l’année, plusieurs années de suite. Cette fois, les clients achètent le droit d’utiliser exclusivement un hébergement dans un complexe immobilier, dans une certaine station touristique. Afin que ces clients passent les vacances avec la famille. Que ce soit les vacances d’été ou d’hiver à la même période de chaque année. Alors qu’à d’autres périodes de l’année, la même résidence de location est utilisée par d’autres familles pour leurs vacances.

Le prix d’achat de cette résidence de vacance est bien sûr considérablement inférieur à celui de la pleine de la résidence.  De plus, les coûts de gestion/entretien de la maison seront évidemment partagés entre tous les utilisateurs du bien.

Il faut également considérer que ceux qui achètent sous forme de temps partagé en vertu du droit immobilier :

– dans la phase de conclusion de l’achat, est spécifiquement protégé par une discipline spéciale dictée pour sa protection (obligations d’information détaillées sur le vendeur, droit de rétractation, etc 😉

– après l’achat, il peut disposer librement de son droit à la propriété, dans les limites de celle-ci, sans avoir besoin du consentement des autres propriétaires en temps partagé : le droit peut être vendu, donné, loué, faire l’objet d’un testament, etc.

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